Message 1parolepourmonpeuple.net – Paris France – Décembre 2014

Noël ou les pratiques abominables des nations – Noël ou l'idolâtrie manifeste déguisée en ange de lumière – Noël ou le jour où tes enfants ont appris à plier les genoux devant le diable pour le remercier de ses (abominables) bienfaits – Noël ou l'héritage de Nimrod, fondateur de Babylone, instigateur de la tour de Babel, et puissant rebelle devant Dieu (Nimrod signifie "rebelle", est le petit fils de Noé, et est mort le 25 décembre, sa femme-mère a institué la tradition du "sapin de Noël" à la mort de son mari, comme une visitation annuelle de renouvellement pour la vie)

Lecture

1.    Noël une fête abominable du diable destinée à humilier Dieu

Le jour où Satan à sa gloire – Le jour où Satan à sa victoire – Le jour où Satan manifeste son règne – Le jour où la mort est glorifiée – Le jour où les hommes rendent gloire à leur dieu, un sapin avec des boules et des guirlandes – Le jour où les hommes apprennent à leurs enfants de quelle manière ils méprisent eux-mêmes Dieu, de quelle manière ils prennent autorité sur Dieu, et de quelle manière ils n'ont aucun respect ni aucune crainte pour son (saint) Nom – Le jour de l'année où la honte est à son comble et l'abomination à son zénith

Une fête comme un culte commercial où Dieu n'est pas là

Comment expliquer que la plupart des hommes refusent de parler de Dieu, de lire sa Parole, ou même de reconnaître une quelconque autorité de Dieu sur eux-mêmes tout au long de l'année, mais qu'ils soient aussi fervents et aussi unanimes pour préparer et fêter celui qu'ils rejettent et qu'ils oublient pourtant pendant tout le reste de l'année ? N'est-ce en réalité une immense hypocrisie ? En quoi les hommes sont-ils finalement en train de reconnaître l'autorité de Dieu lorsqu'ils fêtent Noël ? En quoi le glorifient-ils puisqu'ils ne font que rechercher leur propre plaisir, satisfaire leurs propres envies, et remplir leur ventre autant qu'il est possible ?

Un Dieu qui brade le sacrifice de son Fils, en lui préférant sa naissance à sa mort ?

Dieu serait-il devenu à ce point aveugle ? Serait-il finalement partisan de la fête des cadeaux de Noël, de la fête de l'argent roi et des petits paquets multicolores déposés au pied d'un sapin, lui qui a par ailleurs sacrifié la vie de son pourtant bien aimé et unique Fils sur une croix dans d'atroces souffrances ? La naissance de Jésus doit-elle être un prétexte à se réjouir ou bien une occasion de s'humilier devant Dieu, à cause de nos péchés ? Ne devrait-on pas nous revêtir de honte et chercher l'humiliation devant Dieu plutôt que de se revêtir d'habits de fête ? En quoi finalement la fête de Noël respecte-t-elle la Bible et l'Esprit de Dieu ? Le point culminant de la vie de Jésus n'est-il pas la croix plutôt que la naissance de Jésus-enfant ? Si c'est bien le cas, pourquoi ne fête-t-on pas la mort et la résurrection de Jésus plus que sa naissance, c'est-à-dire Pâque (la vraie) plus que Noël ? Dans ces conditions, en quoi la fête de Noël est-elle finalement autre chose qu'une imposture ?

Une fête de démons qui se déguisent en anges de lumière

Le simple fait d'observer les comportements et les attitudes des partisans de la fête de Noël suffit pour comprendre que ce n'est pas l'Esprit de Dieu qui préside à cette fête, qui comporte autant d'excès de toutes sortes, mais que ce sont les serviteurs du diable qui tirent en réalité les ficelles (spirituelles) de cette mascarade de la nativité de Jésus. Les démons en question s'appellent: Orgie, Gloutonnerie, Beuverie, et Surconsommation, et ils dominent (spirituellement) sur tous les "adorateurs" de cette fête de Noël, afin de les aveugler, de les tromper et de les égarer, ce qui représente une sanction légitime devant la justice de Dieu puisque ces adorateurs-là (les hommes) préfèrent les lumières scintillantes et trompeuses des guirlandes de la vie festive et de la vie facile du monde, plutôt que la lumière éblouissante mais dure et réelle, révélatrice et culpabilisante de la Parole de Dieu, une lumière qui condamne le cœur de l'homme (rusé et désespérément malin), ses œuvres (mauvaises) et son comportement (idolâtre, légaliste et trompeur).

2.    Noël ou la grande braderie de la foi

Le seul moment de l'année où les cadeaux sont chers mais la grâce de Dieu "bon marché" – Le moment où l'homme se souvient de Dieu par intérêt, celui de son ventre, et par dépit, celui de refuser d'être exclu de la société

Un marché de Noël où chacun trouve son compte

Chacun y va de la glorification de son propre dieu, les catholiques vendent un petit Jésus dans une crèche, les protestants vendent un petit dieu qui aime faire des fêtes, tandis que le monde vend un concept de la foi "au rabais", pratique, déculpabilisant et bon marché, qui consiste à dépenser de l'argent en s'immergeant soi-même dans une foire à tout où chacun peut choisir dans les magasins comment il va se faire plaisir à lui-même, tout en prétextant qu'il est ainsi spirituel, pieux et religieux, alors qu'il se laisse aller en réalité à ses propres envies (égoïstes), et qu'il laisse mourir de faim et de froid tous les pauvres qui jonchent les trottoirs des grandes villes à cette époque-là. Ces grandes villes sont l'image moderne de Babylone la grande, là où les riches ont leur demeure, là où le péché abonde et là où l'injustice est criante, mais paradoxalement là où tout le monde admire les riches et méprise les pauvres, c'est-à-dire là où tout le monde (qui est du monde) trouve le monde "normal et bon" pour tout le monde (qui est du monde). Où est Dieu dans tout cela? Comment serait-il satisfait d'une telle fête de la surconsommation, alors que Jésus a enseigné de renoncer à toutes choses du monde et à sa propre vie, et à se séparer des plaisirs trompeurs du monde ?

Je t'aime mon égoïsme chéri – La marque de Lucifer

Les slogans des magasins ne sont-ils pas eux-mêmes révélateurs de l'esprit qui domine cette fête de Noël lorsqu'ils affichent sur leurs publicités "faites-vous plaisir" ou "si vous pensiez à vous-mêmes", ou "préparez votre fête" ? Quand on considère finalement qu'aucune Parole dans la Bible ne fait référence à l'instauration par Dieu d'une quelconque fête de Noël ni même de la nativité ni de la décoration d'un quelconque arbre ou sapin, comment pourrait-on encore soutenir que cette fête est agrée par Dieu, agréable et plaisante à ses propres yeux ? Or, si elle ne plait pas à Dieu, comment aurait-elle été inspirée par lui ? C'est pourquoi il est clair que la fête de Noël est inspirée en réalité par les hommes (de Satan), et qu'elle vise très clairement à humilier Dieu et non le glorifier, à discréditer son image aux yeux des hommes (qui ne connaissent pas Dieu), et à perdre si possible tous les enfants de Dieu, au cas où ceux-ci persévéreraient, malgré les avertissements et les mises en garde, dans la pratique (abominable) de cette fête.

3.    Le sapin de la honte

Une tour de Babel personnelle et glorieuse avec ses guirlandes étincelantes et ses boules dorées – Le nouveau visage de l'arrogance de l'homme envers Dieu – Une gloire personnelle que chacun cultive lui-même dans sa maison sans même avoir à se rendre à l'église (du diable) – L'homme Dieu dans sa splendeur (illusoire, dérisoire et hautaine)

La fête universelle pour tous (universelle pour catholique ?)

Le sapin de Noël, avec ses boules ses guirlandes et ses petites lumières clignotantes s'est installé dans tous les foyers du monde, religieux ou non, croyants ou non, et il s'est aujourd'hui installé jusqu'au sein même des églises, celles qui prétendent pourtant servir Dieu, alors que nulle part dans la Bible il n'est fait mention d'une telle tradition à respecter, et qu'il est même écrit le contraire:

Recevoir avec joie la bénédiction du diable

Or aujourd'hui, même dans les églises, on se met à genoux devant le sapin comme si on était des enfants qui vont recevoir des petits cadeaux en provenance du ciel, du papa gâteau qui vient avec sa hotte de bénédictions afin de les déverser dans nos cœurs, et de remplir nos âmes, alors que c'est notre réfrigérateur et notre ventre que nous cherchons tout simplement à remplir par nous-mêmes. Comment n'avons-nous pas honte d'humilier de cette manière celui que nous appelons notre Dieu ? N'est-ce pas la preuve que nous aimons finalement mieux les choses de la terre plutôt que le royaume des cieux ?

4.    Quand le diable accomplit le travail de la justice de Dieu

Satan travaille pour Dieu malgré lui – Sa méchanceté, son légalisme et son orgueil constituent finalement le bras armé de la justice de Dieu – Quand Satan annonce et projette devant ses propres yeux sa mort, son châtiment et sa ruine prochaine

Dieu prépare son jugement des nations

En réalité, la fête de Noël constitue un puissant révélateur de la religiosité vaine de l'homme, de son hypocrisie envers son Dieu, de son égoïsme et de son égocentrisme, elle manifeste ainsi au grand jour ce qu'il y a vraiment au fond du cœur de l'homme, c'est-à-dire son propre orgueil, son insoumission, sa révolte, son arrogance et son mépris, et c'est ainsi que le diable révèle lui-même la révolte qu'il y a dans le cœur de l'homme, et qu'il met au grand jour le péché de l'homme, que la justice de Dieu sera à même de reprocher clairement à chaque homme et à chaque femme, au jour du jugement dernier. Le diable est donc bien le premier ouvrier permettant l'accomplissement de la justice de Dieu, en vue du jugement des œuvres de chacun.

Le jour où les chrétiens cesseront de fêter Noël

Le retour à la Parole de Dieu qui caractérise le réveil actuel des véritables enfants de Dieu, devrait permettre à ceux-ci de reconnaître que cette fête n'a aucun fondement biblique, et qu'elle constitue donc une œuvre du diable qu'il convient de condamner. C'est pourquoi ceux qui auront reçu de Dieu cette révélation, et qui continueront dans la tradition des hommes, en fêtant Noël, le sapin, les boules et les cadeaux, ainsi que les excès de table, manifesteront ainsi leur attachement à la religion des hommes, c'est-à-dire à leur tradition plutôt qu'à la Parole de Dieu. C'est pourquoi Dieu accomplira sur eux sa propre Parole qu'il a déjà prononcée dans un tel cas de figure: Il les vomira de sa bouche (Apocalyse 3:16). Qui sera capable de contester avec Dieu et de l'empêcher d'accomplir sa propre justice, celle qu'il chérit plus que son amour et à laquelle il s'est lui-même totalement soumis ? Je t'aime, dit Dieu à l'homme, mais l'homme lui répond: oui je m'aime. Repentez-vous, car le Royaume des cieux est proche, disait Jean-Baptiste. Ne fêtez plus Noël, mais plutôt dénoncez, vous aussi, cette œuvre du diable.

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